Les œuvres les plus chères du confinement

09/06/2020 Par Artprice
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Communiqué du 9 juin 2020

La crise liée au COVID-19 a durement touché le marché mondial de l’art, obligeant les sociétés d’enchères à annuler ou à reporter leurs ventes, mais l’activité n’est pas rester totalement au point mort grâce aux ventes en ligne. Artprice se concentre ici sur les plus belles transactions réalisées pendant la période de confinement, où un petit nombre d’oeuvres a dépassé le millions de dollars.

Des résultats inattendus

Le Marche de l’Art « confiné » n’a pas été exsangue de beaux résultats. Depuis leurs écrans, les collectionneurs ont motivé des enchères bien au-delà de ce que l’on aurait cru. Il en va ainsi de l’oeuvre la plus chère du confinement, une oeuvre qui n’est signée ni d’un grand moderne français, ni d’un américain contemporain, mais d’un artiste russe du 19e siècle, Ivan Constantinovich Aivazovsky. L’occasion d’acheter une toile dans cette dimension (plus de deux mètres) étant rare, les collectionneurs de cet artiste ont monté les enchères à 1,3 million au-dessus de l’estimation haute depuis le site internet de Sotheby’s. La grande baie de Naples de Aivazovsky est ainsi partie au seuil des trois millions de dollars.