M. Drezet a ainsi précisé que la dernière grande réforme de 2008 avait permis une explosion du coût du CIR qui lui semble aujourd’hui «un instrument difficilement contrôlable et qui appelle un certain nombre d’interrogations»
S’agissant de l’assiette du CIR , l’auditionné a précisé qu’elle était «permissive» dans la mesure où elle comprenait un grand nombre de dépenses et notamment des «dépenses de personnel qui représentent plus de la moitié de l’assiette des dépenses du CIR»
«Les instruments juridiques de type rescrit fiscal ou contrôle à la demande qui sont présentés comme des éléments de sécurisation pour les bénéficiaires du CIR sont quasiment inexistants»_ a souligné M. Drezet.
S’agissant du contrôle à la dtrong>...