Selon Euractiv, «pour sortir du carcan de la majorité absolue sur les questions fiscales, Juncker a exhumé une clause du traité de Lisbonne permettant de passer à la majorité qualifiée.»
Le 12 septembre 2018 , le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a prononcé son discours sur l’état de l’Union européenne (UE qui permet à la Commission de présenter le bilan de son action ainsi que d’esquisser ses projets.
Pour renforcer la capacité «à parler d’une seule voix en matière de politique étrangère», la Commission propose à nouveau de passer au vote à la majorité qualifiée «dans certains domaines des relations extérieures de l’UE».
Aujourd’hui, un seul État membre est en mesure de bloquer toute décision en matière de politique étrangère.