Le parlementaire souligne que les contribuables personnes physiques sont souvent dans l’impossibilité matérielle de recourir à l’assistance d’un avocat pour les conseiller et les représenter.
Il précise également que l’aide juridictionnelle, les offres des compagnies d’assurances en matière de protection juridique et les consultations gratuites qu’offrent les avocats ne peuvent constituer les seules réponses à des situations parfois génératrices d’abus et de dénis de droit.
Le Ministre vient de répondre qu’il n’était pas envisagé de mettre en place un nouveau dispositif, qui constituerait une niche fiscale.