Une mission « flash » mise en place par l'Assemblée nationale a débouché mardi sur le constat partagé de l'existence de profits « exceptionnels » réalisés par certaines entreprises en temps de crise, mais avec des pistes divergentes pour les mettre à contribution.
Les deux co-rapporteurs de cette mission, David Amiel (Renaissance) et Manuel Bompard (LFI), ont présenté leurs préconisations devant la commission des Finances à l'issue d'un cycle d'auditions : celle d'un soutien au dispositif en gestation au niveau européen pour le premier, contre celle d'une taxation nationale pour le second.